Magnifiques clés de voùtes!

Près du palais de la seconde branche de l'Saura, est l'église de Sant Crist, une petite chapelle datant de 1662, lorsque le brevet guilde (artisans laine) de Ciutadella de Menorca a accepté d'acheter une vieille maison à et à restaurer l'image de son maître, dels Sant Crist Paraires Suivant le modèle de l'architecture religieuse de l'époque, l'architecte Pere Sureda construite la chapelle pendant quatre ans et, à l'heure actuelle, est l'un des meilleurs exemples de l'architecture baroque qui demeurent Minorque. Le temple, à quelques tours simples intérieures nef rectangulaire, couvercle abside trapézoïdale et des murs décorés de fresques de l'époque, a également un dôme central. En 2006, l'image de Sant Crist Paraires dels, sculpté au XVIIe siècle par un artiste anonyme, a été restauré, permettant la récupération des gouttes de sang sculpture peinte.

Le barranc d’Algendar est le ravin le plus important de l’île. Il naît à proximité de Ferreries, à côté de la route générale qui unit Maó à Ciutadella, sur l’ainsi dénommé mont de Santa Magdalena ou d’Urgell, et débouche sur la plage de Cala Galdana. Sa longueur est de 7 km, valeur qui équivaut à celle de la moitié de la largeur moyenne de l’île, qui est de 13,5 km. Ses murs les plus verticaux peuvent atteindre à certains points les 80 m de hauteur, même si la valeur la plus fréquente est de 50 m. Il s’agit d’un ravin creusé par l’action de l’eau du torrent qui coule au fond et qui constitue un cas exceptionnel dans l’île, car il achemine de l’eau durant toute l’année avec un débit considérable, même au cours des années les plus sèches. Cette caractéristique est due au fait que le torrent draine une zone étendue de territoire depuis le pla Verd jusqu’au massif de Santa Águeda et, de plus, il reçoit des apports des eaux souterraines de l’aquifère de Migjorn, qui affleurent dans les parties les plus déprimées du ravin. Cette caractéristique se manifeste d’une manière spectaculaire à proximité de l’embouchure du ravin, où se trouve la font dels Eucaliptus (source), où les eaux sortant de l’aquifère inondent de manière permanente les terrains autour du torrent. Le transport d’eau par le torrent durant toute l’année favorise l’existence d’une végétation de rivage peu fréquente à Minorque. Près de l’embouchure, le torrent présente une claire influence marine, avec la domination d’une végétation hydrophile, plus ou moins adaptée à la salinité, formée de joncs et de roseaux à balais. À l’intérieur, on trouve une flore et une faune d’eau douce constituées par des bogues et du cresson d’eau. Il est également possible de trouver à certains points des roseaux, des ormes et des lauriers. Dans les zones sombres du ravin, nous retrouvons la pampalonia, une espèce endémique de Minorque et de Majorque, avec des fleurs au caractère spectaculaire indéniable. Le barranc d’Algendar, comme tous les ravins de l’île, sert de zone de chasse aux oiseaux rapaces comme la buse, le milan, l’épervier, la chouette et le faucon pèlerin. Dans les zones d’eau douce vivent de nombreuses tortues d’eau et des grenouilles, tandis que les uniques poissons qui habitent les eaux du torrent sont l’anguille et la gambusie. Sur les murs du ravin existent deux grottes, dans lesquelles des restes d’activité humaine de l’époque « talayotique » ont été retrouvés. L’une est la grotte Murada, connue depuis l’antiquité, et l’autre est la grotte du Càrritx, découverte il y a peu (1995). Cette découverte fut une trouvaille très importante pour l’archéologie, étant donné qu’elle était restée fermée en raison d’un éboulement naturel de rochers à l’époque romaine, au moins, et à l’intérieur furent retrouvés intacts depuis cette époque un ensemble d’objets archéologiques et des restes humains, os et cheveux, en plus d’autres restes de l’activité humaine.

Situé sur le cap du même nom, le phare de Favoritx est l'un des plus visités de l'île à la fois pour sa tour blanche distinctive dont la silhouette met en valeur une bande spirale noire et pour son environnement naturel accidenté. Entouré d'imposantes falaises d'ardoise dans un cadre privilégié, il vaut la peine d'approcher cette extrémité de Minorque pour reconnaître le caractère unique de ce phare en face du reste de ceux qui ont l'île. Construit en 1922 avec la roche de la carrière voisine qui a permis sa construction, l'orographie entourant Fav'ritx offre des panoramas exceptionnels par temps ensoleillé, mais aussi pendant les jours de pluie, de sorte que vous n'avez pas à compter sur le temps pour le visiter. La route qui mène à Faherex vous permet également de découvrir le lac des Sundic, dont le périmètre est clôturé pour préserver sa conservation. Il s'agit d'un radeau naturel de grande importance écologique et d'une grande beauté qui n'est formé qu'en cas de fortes tempêtes ou d'eau de pluie, de sorte que le panorama n'est pas toujours le même. En raison de sa proximité avec la mer, le paysage offre ce contraste d'ensemble qui ne se produit pas dans n'importe quel autre phare sur l'île. Le phare de Fafaritx peut être atteint à pied sur une belle et longue marche, ainsi qu'en voiture ou à vélo. Il est également possible de l'atteindre en s'écartant légèrement de la Cavalls camô, qui est également parallèle à ce tronçon de côte. A côté du phare et en suivant le soi-disant vell de Faherex camô vous pouvez vous jeter dans les belles criques Presili et Tortuga cove, deux plages incontournables à Minorque.

Il s’agit de la municipalité la plus jeune de Minorque, car jusqu’en 1989 elle faisait partie d’Es Mercadal, bien que ses habitants aient toujours eu un fort sentiment de village. Il semblerait que ce village tranquille garde dans ses rues étroites et le rythme pausé de ses habitants le secret de la longévité. En effet, en plus de compter parmi ses habitants plus d’un centenaire, c’est ici qu’est né et a vécu le grand-père du monde, Joan Riudavets, décédé en 2004 à l’âge de 114 ans. Berceau de la culture populaire grâce à son illustre fils, le folkloriste Francesc d’Albranca, le village a l’honneur de posséder dans sa bibliothèque municipale une passionnante collection sur le folklore minorquin. Se promener dans ses rues et dans les jolis chemins ruraux qui entourent le village est un véritable plaisir, mais si vous préférez la plage, Es Migjorn Gran possède trois petits joyaux sur la côte qui vous plairons certainement : San Adeodato, Santo Tomás et Binigaus.

Il est en face de la porte principale de la cathédrale de Minorque, ce qui explique pourquoi les gens le connaissent comme davant l'Església . Oliviers ancien palais, origine au XVIIe siècle. Sa configuration actuelle remonte au XVIIe siècle. La façade est classique et lignes austères, divisé en trois sections. Les corps sont délimitées par des pilastres soutenant un coffrage corniche décorée avec des ornements et le corps central est surmonté d'un fronton triangulaire. Ce palais appartenait à la branche principale de la famille des Oliviers. Les dépendances de l'étage principal s'étendent autour du grand escalier, grandes pièces atmosphère du XVIIIe siècle. Aujourd'hui, la maison est habitée par les propriétaires qui ont toujours été soucieux de préserver. La façade a été restaurée et peinte dans les années récentes.

Un site impressionnant ! La dame de l’accueil était vraiment adorable !! J’ai adoré pouvoir voir différents monuments de différentes époques, cela nous offre une chronologie de l’histoire de l’île très agréable !

Très bel endroit, les ruines sont impressionnantes ! Par contre il faut naviguer dans de petites rues avant de le trouver, ne vous découragez pas ça en vaut le détour! De plus le site est gratuit